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L’électrification intelligente au service de la transition énergétique

Smart electrification towards energy transition

Publié le 12 mai 2015
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26 mai 2015
10H30 -12H30

amphithéâtre A010
ENSE3
11 rue des mathématiques
Saint Martin d'Hères

Thèse - Geneviève Frantz

Titre de la thèse
« Approche système pour l'étude de la CEM des réseaux embarqués ».

Jury
Mme. Geneviève DUCHAMP, Professeure à l'IMS, Examinatrice
M. Hubert PIQUET, Professeur au LAPLACE, Rapporteur
M. Christian VOLLAIRE, Professeur à Ampère, Rapporteur
M. Jean-Luc SCHANEN, Professeur au G2Elab,

Directeur de thèse M. Bertrand REVOL, Maître de conférence au SATIE, Co-encadrant M. David FREY, Maître de conférence au G2Elab, Co-encadrant


Résumé
Les véhicules de transport tendent à utiliser de plus en plus des énergies dites propres. De ce fait, les structures des réseaux électriques embarqués se complexifient que ce soit en termes d’architecture, de nombre de convertisseurs d’électronique de puissance connectés ou bien des technologies utilisées dans ces derniers. En complément de l’approche normative, où le convertisseur est étudié seul dans un environnement normalisé, cette thèse se place dans le cadre particulier des réseaux pour lesquels :
• la connaissance de la structure interne du convertisseur étudiée n’est pas nécessaire à la réalisation de son modèle. La méthode développée se base uniquement sur des mesures extra-convertisseurs. Cette approche possède l’avantage de garantir aux fabricants une certaine confidentialité sur l’architecture interne des convertisseurs tout en permettant à l’équipementier d’étudier les effets de ces derniers sur son réseau de bord ;
• le réseau sur lequel les convertisseurs sont modélisés peut posséder une architecture complexe par rapport à l’approche « convertisseur seul sur RSIL ». Pour plus de réalisme, le fonctionnement normal d’un convertisseur peut être soumis au fonctionnement d’autres convertisseurs du réseau. Ainsi, les impédances qui seront mises face au convertisseur étudié devront représenter la réalité de ce réseau qui ne sera alors pas nécessairement bien connu. Même si ce n’est pas ce qui a été réalisé au cours de cette thèse, ce point est important puisqu’il remet en question l’utilisation systématique des RSIL puisqu’ils faussent le comportement réel sur réseau ;
• la montée en fréquence des technologies utilisées dans les convertisseurs conduit à la nécessité d’un modèle sur une plage de fréquences allant au-delà des 30MHz conventionnels imposés par les normes. Pour ce travail, une plage allant de la fréquence de découpage jusqu’à 100MHz était visée.

En définitive, l’objectif principal de cette thèse a été de réaliser un protocole d’identification clairement défini dans le but de renseigner un modèle de type « boîte noire » compatible avec les convertisseurs statiques. Ce modèle a été choisi pour :
• son faible nombre d’éléments, le rendant compatible avec l’analyse d’un réseau où de nombreux convertisseurs seront présents ;
• sa généricité qui permet d’établir une méthode d’analyse systématique ;
• sa compatibilité avec l’étude classique en mode commun – mode différentiel qui, dans le cadre de la séparation de modes, le rend même plus simple à utiliser.
L’envie de donner du sens physique aux éléments de ce modèle a été une clé dans son identification. De ce fait, les nombreux modèles CEM de convertisseurs statiques qui existent et qui possèdent une utilité (par exemple, dans le cadre du dimensionnement des filtres CEM d’entrée) n’ont pas été laissés de côté. Il a donc été choisi de réaliser dès que possible un lien formel entre les différents modèles.


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mise à jour le 12 mai 2015

Université Grenoble Alpes